Les Seychelles annoncent la création d’une zone de protection marine

Les Seychelles veulent préserver leurs eaux, essentielles selon le gouvernement au développement économique du pays.

Le gouvernement va mettre en place une vaste zone de protection marine au sein de l’archipel, dans l’océan indien. Superficie : 210.000 km², soit près de 15 % de la Zone économique exclusive seychelloise.

La réserve s’inscrit dans le cadre du concept d’économie bleue, dans lequel les Seychelles comptent développer leur économie. Ce qui ne peut être effectif que si le secteur privé se joint au gouvernement pour assurer de la mise en œuvre des stratégies.

‘‘Ce qui se passe en partenariat, c’est le partage d’expériences afin que nous ne répétions pas les erreurs qui ont été commises, nous partageons les bonnes pratiques, nous partageons également l’expertise d’organisations internationales spécialisées qui viennent nous donner leur expérience. monde aurait fait en ce qui concerne un domaine particulier et c’est l‘économie bleue.’‘ A déclaré Vincent MERITON, vice président des Seychelles.

Il faut savoir ce que nous avons dans nos eaux. Il faut savoir gérer les ressources que nous avons dans nos eaux. Il faut sécuriser ce que nous avons dans nos eaux et partager cette richesse avec la population. Il faut éduquer la population à comprendre ce que la société fait dans ce domaine.

Le gouvernement des Seychelles et la Banque mondiale veulent avancer le programme de maximisation du financement pour le développement de l‘économie bleue, dans le but d’attirer les investissements afin d’accroître la résilience des économies océaniques en Afrique. Raison de la tenue d’une conférence internationale sur « Financing Sustainable and Climate-Resilient Ocean Economies in Africa ». Mark LUNDELL est le directeur des opérations de la Banque mondiale’‘.

Poursuivez la lecture de cet article en cliquant sur le lien suivant : Les Seychelles annoncent la création d’une zone de protection marine

Article précédentEau Vive Internationale, le parcours d’une ONG qui fait confiance à l’Afrique
Article suivantCulture du viol : Non, c’est vraiment non.

97 Commentaires